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Clôture en apothéose de la première édition du Fun Festival de Casablanca

Clôture en apothéose de la première édition du Fun Festival de Casablanca
La première édition du Fun Festival de Casablanca aura tenu toutes ses promesses avec une soirée de clôture samedi soir, qui a offert au public une expérience mémorable sous le signe de la musique, de la joie et du partage.

Ce rendez-vous musical, organisé au Vélodrome de Casablanca, a réuni des milliers de spectateurs venus célébrer deux stars de la scène marocaine et arabe : Hatim Ammor et Ahmed Saad. Le public a répondu en masse pour ce moment fort de la programmation, faisant de cette soirée un succès incontestable.

C’est le chanteur marocain Hatim Ammor qui a ouvert le bal, enflammant littéralement la scène dès les premières notes de ses plus grands succès. Avec des titres tels que « Akhir Merra », « Hasdouna » et « Hsebni Temaa », Ammor a rapidement transporté l’audience dans une ambiance électrique.

Le chanteur, en interaction constante avec son public, n’a cessé d’inviter la foule à chanter et à danser avec lui, créant une communion intense. Les jeux de lumière, les chorégraphies et l’orchestre accompagnant l’artiste ont transformé la scène en un véritable show de haute envergure.

Le public, conquis par l’énergie débordante de l’artiste, n’a pas tardé à rejoindre cette vague de joie collective, créant une atmosphère chaleureuse et festive. Les spectateurs ont chanté en chœur, levant les bras et vibrant au rythme des mélodies entraînantes, tandis que les plus jeunes dansaient avec enthousiasme.

Dans une déclaration à la MAP en backstage, Hatim Ammor a exprimé sa joie de retrouver le public casablancais qui a dansé et chanté avec lui tout au long du concert, félicitant les organisateurs pour la réussite de ce festival.

Casablanca, ville natale de Hatim Ammor, lui a réservé un accueil triomphal, une chaleur que l’artiste n’a pas manqué de souligner tout au long de sa prestation.
La soirée a ensuite pris une tournure encore plus enflammée avec l’arrivée sur scène du tant attendu Ahmed Saad. La star égyptienne, adulée pour son style unique mêlant pop arabe et touches orientales, a captivé l’audience dès son apparition.

Les festivaliers, déjà transportés par la performance de Hatim Ammor, ont accueilli Saad avec des cris d’enthousiasme, prêts à poursuivre la fête jusqu’au bout.

Avec des tubes tels que « Ekhtayaraty », « El Youm El Helw Dah » et « Aleky Eyoun », l’artiste a enchaîné les morceaux avec une énergie débordante, faisant monter l’ambiance à son paroxysme. Les rythmes percutants, couplés à la voix puissante d’Ahmed Saad, ont maintenu la foule dans un état de liesse constante.
La fusion de son répertoire musical et l’interaction étroite qu’il a entretenue avec ses fans ont donné naissance à une véritable symphonie de joie.

Dans une déclaration à la presse, la star égyptienne s’est dit fier de participer à ce festival, remerciant le public incroyable qui a su lui transmettre son énergie.
Il a, par ailleurs, indiqué que le caractère social que revêt le festival est l’une des choses les plus importantes, notant que ce genre d’action devrait se faire plus souvent.

Ainsi, cette dernière soirée du Fun Festival a magnifiquement clôturé une première édition couronnée de succès. L’événement, qui a rassemblé des artistes de renom tout en portant un engagement social fort, a marqué les esprits des spectateurs, venus nombreux partager cette expérience unique.

L’ambiance, festive et conviviale, a fait vibrer Casablanca sous les rythmes maghrébins et orientaux, offrant une célébration musicale où divertissement et générosité se sont harmonieusement mêlés. Le Fun Festival promet de revenir encore plus fort l’année prochaine, au grand bonheur des amateurs de musique et d’actions de solidarité.

Bouillon de culture
Théâtre

La nouvelle pièce théâtrale «Nachrab Idane» (Buvons donc), mise en scène par l’artiste Khalid Azouichi, a été présentée samedi soir à Fès.
Les événements de cette œuvre, qui ouvre la nouvelle saison artistique et culturelle du centre culturel les Etoiles  de la Médina, s’articulent autour de plusieurs thèmes existentiels tels que la liberté, la capacité à prendre des décisions et la perplexité face à la vie et à la mort.
Le public passionné de théâtre a vécu, pendant une heure, des moments captivants avec les situations et les événements abordés par cette pièce théâtrale, écrite par Kassem Matroude (Irak) et dont les rôles ont été interprétés par les acteurs Farid Bouzid et Mourad Moufaouafik et l’actrice Nisren Mounji.
Khalid Azouichi a déclaré que cette pièce est une œuvre qui a nécessité des efforts conjugués de plusieurs personnes et d’un staff comprenant un groupe d’artistes.
Il a également salué le travail de l’équipe technique qui comprend un groupe de jeunes talentueux et ambitieux.
De son côté, le directeur du centre culturel les Etoiles de la Médina, Abdeslam Rihani, a indiqué que cette œuvre marque le lancement du programme artistique et culturel diversifié du centre pour cette saison, qui comprend diverses activités, notamment des ateliers, des représentations théâtrales et musicales, des rencontres littéraires et intellectuelles et d’autres activités qui contribuent à dynamiser la vie culturelle dans la capitale scientifique.

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