« Cheval au crépuscule », est le thème d’une exposition collective a été organisée par la Galerie Marsam dans le cadre de la 15ème édition du Salon du Cheval d’El Jadida, du 1 au 6 octobre 2024, réaffirmant ainsi son engagement artistique, avec des œuvres qui célèbrent et réinterprètent ce noble animal sous divers angles et thèmes, toujours avec une recherche d’harmonie et de profondeur.
Cette initiative se veut pour les organisateurs, une occasion de mettre à l’honneur le cheval, un symbole central du patrimoine marocain, célébré à travers des œuvres diversifiées et profondes.
Chaque année, a indiqué Rachid Chraïbi, commissaire de l’exposition explore de nouveaux thèmes en lien avec l’univers équestre, allant de « Cheval et chevauchée » à « Cheval, fêtes et cérémonies », en passant par « Tbourida et chevaux au vent ».
Ces thématiques riches en symboles culturels témoignent de l’importance du cheval dans l’histoire et l’imaginaire marocains, a-t-il précisé.
« Rachid Chraïbi, a souligné dans une déclaration que le thème retenu pour cette année, « Cheval au crépuscule », s’inspire d’une œuvre de Nabil Dadsi, l’invité d’honneur de l’édition 2024, ajoutant qu’il décrit le crépuscule comme un instant suspendu, où « le rêve et le mystère se croisent, reflétant à la fois la fin et le commencement, l’obscurité et la lumière ».
Selon lui, ce thème poétique aux artistes un terrain propice à l’exploration émotionnelle et spirituelle, bien au-delà des simples prouesses techniques ».
L’exposition rassemble une vingtaine d’artistes dont les œuvres expriment la diversité des représentations du cheval dans la culture marocaine.
Il s’agit de Karima Alami, Abdelouahab Belkhayat, Larbi Belcadi, Noureddine Belhaj, Majid Bouanani Abdallah Benchekroun Darif, Brahim Hanine, Aimé Kakon, Mohamed Krich, Jean Gaston Mantel, Souad Moussaoui, Nabil Dadsi, Miloudi Nouiga, Abdelhalim Raji, Nowman Zinbi, Abdellah Dibaji, Juan Enguidanos, Farida Essaydi Hamza Fakir, et du peintre Hassan Fetheddine.
Impressionné par toute cette panoplie d’œuvres exposées, Jean François Clément, Critique d’art, a souligné que dans sa toile intitulée « Baignade au crépuscule », l’artiste Farida Essaydi appréhende ainsi, une communication intuitive entre l’homme et l’animal, dans une atmosphère poétique et mystérieuse évoquant le désert.
Alors que chez le plasticien Abdelhalim Raji, a t-il poursuivi, le corps de l’animal est sur-décoré dans un contexte sursaturé de symboles, ce qui dénote d’un style affirmé.
Il en est de même de Hassan Fethedfine qui nous présente deux toiles de Tbourida au féminin en ajoutant le symbole de la féminité.
Et l’on peut affirmer la même chose pour Jean-Gaston Mantel ou pour Juan Eguidanos, également pour Abdelilah Benchekroun, devait-il conclure.
La variété des approches artistiques, allant de la figuration à la sculpture, en passant par l’art naïf, la nouvelle figuration, et la calligraphie, illustre la richesse du lien entre le cheval et l’Homme au Maroc, a rebondi Rachid Chraibi.
« Le cheval, a-t-il mentionné, a une place prépondérante dans notre culture, et cette exposition est une manière de rendre hommage à cet animal emblématique », a rebondi Rachid Chraïbi.
Cette exposition collective offre aux visiteurs de magnifiques œuvres artistiques, mettant en avant les somptueux apparats confectionnés pour les chevaux lors des cérémonies traditionnelles, témoignant de l’élégance et du raffinement de l’art équestre marocain, a, de son côté, fait remarquer l’artiste peintre Abdeljabbar Bouhlal, en visite au salon du cheval.
Et d’ajouter : « Cette exposition illustre, la profondeur émotionnelle et historique que le cheval incarne dans l’imaginaire collectif marocain, tout en mettant en avant l’importance de cet animal dans les festivités et les Moussems ».
Avec cette exposition d’envergure, estiment pour leur part des observateurs avertis, le Salon du Cheval d’El Jadida, reste un rendez-vous incontournable pour les amateurs d’art et de patrimoine, où la beauté et la symbolique du cheval continuent d’inspirer des créations artistiques aussi variées que fascinantes.
Cette initiative se veut pour les organisateurs, une occasion de mettre à l’honneur le cheval, un symbole central du patrimoine marocain, célébré à travers des œuvres diversifiées et profondes.
Chaque année, a indiqué Rachid Chraïbi, commissaire de l’exposition explore de nouveaux thèmes en lien avec l’univers équestre, allant de « Cheval et chevauchée » à « Cheval, fêtes et cérémonies », en passant par « Tbourida et chevaux au vent ».
Ces thématiques riches en symboles culturels témoignent de l’importance du cheval dans l’histoire et l’imaginaire marocains, a-t-il précisé.
« Rachid Chraïbi, a souligné dans une déclaration que le thème retenu pour cette année, « Cheval au crépuscule », s’inspire d’une œuvre de Nabil Dadsi, l’invité d’honneur de l’édition 2024, ajoutant qu’il décrit le crépuscule comme un instant suspendu, où « le rêve et le mystère se croisent, reflétant à la fois la fin et le commencement, l’obscurité et la lumière ».
Selon lui, ce thème poétique aux artistes un terrain propice à l’exploration émotionnelle et spirituelle, bien au-delà des simples prouesses techniques ».
L’exposition rassemble une vingtaine d’artistes dont les œuvres expriment la diversité des représentations du cheval dans la culture marocaine.
Il s’agit de Karima Alami, Abdelouahab Belkhayat, Larbi Belcadi, Noureddine Belhaj, Majid Bouanani Abdallah Benchekroun Darif, Brahim Hanine, Aimé Kakon, Mohamed Krich, Jean Gaston Mantel, Souad Moussaoui, Nabil Dadsi, Miloudi Nouiga, Abdelhalim Raji, Nowman Zinbi, Abdellah Dibaji, Juan Enguidanos, Farida Essaydi Hamza Fakir, et du peintre Hassan Fetheddine.
Impressionné par toute cette panoplie d’œuvres exposées, Jean François Clément, Critique d’art, a souligné que dans sa toile intitulée « Baignade au crépuscule », l’artiste Farida Essaydi appréhende ainsi, une communication intuitive entre l’homme et l’animal, dans une atmosphère poétique et mystérieuse évoquant le désert.
Alors que chez le plasticien Abdelhalim Raji, a t-il poursuivi, le corps de l’animal est sur-décoré dans un contexte sursaturé de symboles, ce qui dénote d’un style affirmé.
Il en est de même de Hassan Fethedfine qui nous présente deux toiles de Tbourida au féminin en ajoutant le symbole de la féminité.
Et l’on peut affirmer la même chose pour Jean-Gaston Mantel ou pour Juan Eguidanos, également pour Abdelilah Benchekroun, devait-il conclure.
La variété des approches artistiques, allant de la figuration à la sculpture, en passant par l’art naïf, la nouvelle figuration, et la calligraphie, illustre la richesse du lien entre le cheval et l’Homme au Maroc, a rebondi Rachid Chraibi.
« Le cheval, a-t-il mentionné, a une place prépondérante dans notre culture, et cette exposition est une manière de rendre hommage à cet animal emblématique », a rebondi Rachid Chraïbi.
Cette exposition collective offre aux visiteurs de magnifiques œuvres artistiques, mettant en avant les somptueux apparats confectionnés pour les chevaux lors des cérémonies traditionnelles, témoignant de l’élégance et du raffinement de l’art équestre marocain, a, de son côté, fait remarquer l’artiste peintre Abdeljabbar Bouhlal, en visite au salon du cheval.
Et d’ajouter : « Cette exposition illustre, la profondeur émotionnelle et historique que le cheval incarne dans l’imaginaire collectif marocain, tout en mettant en avant l’importance de cet animal dans les festivités et les Moussems ».
Avec cette exposition d’envergure, estiment pour leur part des observateurs avertis, le Salon du Cheval d’El Jadida, reste un rendez-vous incontournable pour les amateurs d’art et de patrimoine, où la beauté et la symbolique du cheval continuent d’inspirer des créations artistiques aussi variées que fascinantes.
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