Selon l’agence Algérie Presse Service (APS), citant un communiqué du ministère algérien des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger paru le 26 septembre, le gouvernement algérien a décidé de rétablir « l’obligation d’obtention du visa d’entrée au territoire national pour tous les ressortissants étrangers détenteurs de passeport marocain ».
Ce sont, comme par hasard, nos jeunes qui ont été les premiers à payer le prix.
En provenance, le même jeudi d’application du visa, de Casablanca via Paris pour prendre part à des ITF J60, les Yasmine Douyeb, Ghita Sebbar, Ghali Komat, Mehdi Cherkaoui et Amine Jabrani, en plus de leur accompagnateur Hamid Abderrazak ont été bloqués à l’aéroport et sommés de faire demi-tour tout en leur fouillant, de fond en comble, leurs bagages à la quête, surtout, des drapeaux marocains.
Malgré les multiples interventions de la fédération algérienne de tennis et des démarches auprès du consulat algérien à Rabat, c’est le niet absolu.
Finalement et après une nuit cauchemardesque dans les hangars de l’aéroport et dans des conditions, vraiment, déplorables, nos jeunes n’avaient plus le choix que de rebrousser, très tôt le matin, le chemin pour, enfin, grignoter quelque chose dans l’avion.
N’en parlons pas de la peur et de l’inquiétude des pauvres parents qui étaient à l’écoute du moindre détail concernant leurs progénitures.
Un voyage et un calvaire à oublier de sitôt.
Ce sont, comme par hasard, nos jeunes qui ont été les premiers à payer le prix.
En provenance, le même jeudi d’application du visa, de Casablanca via Paris pour prendre part à des ITF J60, les Yasmine Douyeb, Ghita Sebbar, Ghali Komat, Mehdi Cherkaoui et Amine Jabrani, en plus de leur accompagnateur Hamid Abderrazak ont été bloqués à l’aéroport et sommés de faire demi-tour tout en leur fouillant, de fond en comble, leurs bagages à la quête, surtout, des drapeaux marocains.
Malgré les multiples interventions de la fédération algérienne de tennis et des démarches auprès du consulat algérien à Rabat, c’est le niet absolu.
Finalement et après une nuit cauchemardesque dans les hangars de l’aéroport et dans des conditions, vraiment, déplorables, nos jeunes n’avaient plus le choix que de rebrousser, très tôt le matin, le chemin pour, enfin, grignoter quelque chose dans l’avion.
N’en parlons pas de la peur et de l’inquiétude des pauvres parents qui étaient à l’écoute du moindre détail concernant leurs progénitures.
Un voyage et un calvaire à oublier de sitôt.
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