Le Formentor VZ5 n’étant plus, lui qui était équipé d’un 5 cylindres Audi en fin de vie particulièrement tonique, c’est le Formentor VZ qui prend le relai chez les Cupra à vocation sportive.
Comme son ancêtre, il est équipé du même châssis habile autorisant le plaisir à la conduite. Mais il manque tout de même quelque chose côté caractère et sonorité.
Son incontournable 4 cylindres développe 80 ch de moins mais demeure relativement musclé avec ses 310 ch restants. Le sprint à 100 km/h est d’ailleurs annoncé en 4,9 secondes, 8 dixièmes de plus que feu le VZ5.
Côté émotion, il faut faire le deuil de l’effet turbo très marqué du 5 cylindres, la poussée étant désormais parfaitement linéaire. Bien que ce soit bon pour le chrono, ça l’est un peu moi pour les sensations.
Le châssis fait toujours preuve d’un équilibre plaisant, même si des réglages de suspension trop permissifs (malgré les 15 modes disponibles) accentuent les défauts de ce SUV. Le sous-virage en entrée est plus prononcé que sur le VZ5 et malgré les 4 roues motrices, il n’est pas réellement possible d’emmener le train arrière à l’accélérateur.
Le VZ est aussi dépourvu de la fonctionnalité Drift, qui faisait les beaux jours du VZ5 et qui autorisait de belles glissades sous la pluie.
La direction manque un peu de ressenti, mais surtout, c’est la sonorité artificielle du moteur qui perturbe. Censée reproduire le bruit d’un V8, elle n’y parvient pas, même un tant soit peu.
De bonnes vieilles solutions sauvent la mise, comme la ligne d’échappement sport signée Akrapovic, en option. La boîte DSG 7 rapports suit la cadence et les freins aussi, à condition de ne pas emmener le VZ sur circuit.
Comme son ancêtre, il est équipé du même châssis habile autorisant le plaisir à la conduite. Mais il manque tout de même quelque chose côté caractère et sonorité.
Son incontournable 4 cylindres développe 80 ch de moins mais demeure relativement musclé avec ses 310 ch restants. Le sprint à 100 km/h est d’ailleurs annoncé en 4,9 secondes, 8 dixièmes de plus que feu le VZ5.
Côté émotion, il faut faire le deuil de l’effet turbo très marqué du 5 cylindres, la poussée étant désormais parfaitement linéaire. Bien que ce soit bon pour le chrono, ça l’est un peu moi pour les sensations.
Le châssis fait toujours preuve d’un équilibre plaisant, même si des réglages de suspension trop permissifs (malgré les 15 modes disponibles) accentuent les défauts de ce SUV. Le sous-virage en entrée est plus prononcé que sur le VZ5 et malgré les 4 roues motrices, il n’est pas réellement possible d’emmener le train arrière à l’accélérateur.
Le VZ est aussi dépourvu de la fonctionnalité Drift, qui faisait les beaux jours du VZ5 et qui autorisait de belles glissades sous la pluie.
La direction manque un peu de ressenti, mais surtout, c’est la sonorité artificielle du moteur qui perturbe. Censée reproduire le bruit d’un V8, elle n’y parvient pas, même un tant soit peu.
De bonnes vieilles solutions sauvent la mise, comme la ligne d’échappement sport signée Akrapovic, en option. La boîte DSG 7 rapports suit la cadence et les freins aussi, à condition de ne pas emmener le VZ sur circuit.
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