Un accord-cadre de partenariat a été signé, vendredi à Rabat, entre les ministères de la Justice et de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, portant sur la formation du personnel du département de la Justice dans le domaine de la digitalisation et de l’intelligence artificielle (IA).
Paraphé par le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi et le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Abdellatif Miraoui, cet accord-cadre permettra d’organiser, dès cette année, des sessions de formation au profit des fonctionnaires du ministère de la Justice en vue de renforcer leurs capacités professionnelles et communicationnelles, à même de relever les défis majeurs posés par la digitalisation et l’IA.
Dans une déclaration à la presse à cette occasion, M. Ouahbi a indiqué qu’à travers la signature de cet accord, le ministère de la Justice ambitionne d’assurer une formation continue à ses fonctionnaires, notamment dans les domaines de l’IA et de la digitalisation, qui sont devenues désormais indispensables pour améliorer la performance des professions judiciaires.
À cet égard, le ministre a passé en revue les évolutions importantes observées dans le domaine juridique et de digitalisation, ainsi que les multiples mutations de la législation au sein du ministère de la Justice, faisant part de la volonté du ministère d’impliquer l’université dans l’examen, la promotion et l’amélioration des nouveaux textes.
« Les deux ministères ont convenu de faciliter les études supérieures pour les fonctionnaires de la Justice, notamment en master, et obtenir des diplômes afin qu’ils puissent réaliser, entre autres, leurs ambitions professionnelles », a-t-il dit.
De son côté, M. Miraoui a souligné l’importance de renforcer les capacités professionnelles et de communication du personnel du ministère de la Justice pour faire face aux défis posés par l’IA et la digitalisation, et affronter les « contraintes croissantes », notant, dans une déclaration similaire, que cet accord ouvrira la voie à la conclusion d’autres partenariats avec des universités pour assurer la formation continue de tout le personnel de la Justice et fournir de nouvelles formations à même de répondre aux défis majeurs qui se présentent.
Et de relever que les mutations majeures dans toutes les professions, notamment les professions judiciaires, ainsi que les nouvelles lois, nécessitent désormais l’organisation de formations facilitant l’accompagnement desdites transformations et permettant au personnel de la Justice d’appliquer de manière optimale toutes les lois et de transformer les contraintes en opportunités.
Dans une déclaration à la presse à cette occasion, M. Ouahbi a indiqué qu’à travers la signature de cet accord, le ministère de la Justice ambitionne d’assurer une formation continue à ses fonctionnaires, notamment dans les domaines de l’IA et de la digitalisation, qui sont devenues désormais indispensables pour améliorer la performance des professions judiciaires.
À cet égard, le ministre a passé en revue les évolutions importantes observées dans le domaine juridique et de digitalisation, ainsi que les multiples mutations de la législation au sein du ministère de la Justice, faisant part de la volonté du ministère d’impliquer l’université dans l’examen, la promotion et l’amélioration des nouveaux textes.
« Les deux ministères ont convenu de faciliter les études supérieures pour les fonctionnaires de la Justice, notamment en master, et obtenir des diplômes afin qu’ils puissent réaliser, entre autres, leurs ambitions professionnelles », a-t-il dit.
De son côté, M. Miraoui a souligné l’importance de renforcer les capacités professionnelles et de communication du personnel du ministère de la Justice pour faire face aux défis posés par l’IA et la digitalisation, et affronter les « contraintes croissantes », notant, dans une déclaration similaire, que cet accord ouvrira la voie à la conclusion d’autres partenariats avec des universités pour assurer la formation continue de tout le personnel de la Justice et fournir de nouvelles formations à même de répondre aux défis majeurs qui se présentent.
Et de relever que les mutations majeures dans toutes les professions, notamment les professions judiciaires, ainsi que les nouvelles lois, nécessitent désormais l’organisation de formations facilitant l’accompagnement desdites transformations et permettant au personnel de la Justice d’appliquer de manière optimale toutes les lois et de transformer les contraintes en opportunités.
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