Malgré des engagements financiers conséquents, le gouvernement s’engage à réduire le déficit budgétaire à 3,5% en 2025, puis à 3% en 2026, tout en maîtrisant la dette publique en dessous de 70% du PIB. Toutefois, des économistes s’interrogent sur la faisabilité de ces objectifs dans un contexte marqué par une explosion des investissements et une augmentation des coûts de fonctionnement.
Le spectre d’un cercle vicieux de la dette, amplifié par la hausse des taux d’intérêt, inquiète. Pour relever ce défi, le recours à des partenariats internationaux, ainsi qu’à des partenariats public-privé, est envisagé. Des réformes cruciales, comme la décompensation du gaz butane, sont également mises en œuvre pour stabiliser les finances publiques. La rationalisation des dépenses publiques et l’amélioration de la rentabilité des investissements publics deviennent des impératifs pour éviter que le pays ne s’engage dans des dépenses non soutenables.
Trouvez l’intégralité de l’article dans notre édition VSD 16, 17 et 18 Août 2024, disponible en kiosque.