Ce flux résulte de la différence entre les nouvelles acquisitions des IDME, qui se sont élevées à 25,6 MMDH, et les cessions de ces investissements (17,1 MMDH), précise l’Office dans son rapport annuel de la balance des paiements et position extérieure globale du Maroc., rapporte la MAP
Cette évolution s’explique par l’accroissement du flux net des instruments de dette, principale composante du flux net des investissements marocains à l’étranger, de 82,3% (+4,8 MMDH en 2023 contre 2,6 MMDH en 2022), et dans une moindre mesure par la hausse du flux net des bénéfices réinvestis de 56,6% (+1,9 MMDH en 2023 contre +1,2 MMDH en 2022).
A l’opposé, les titres de participation accusent une baisse de 34,2% passant de 2,6 MMDH en 2022 à 1,7 MMDH en 2023.
Les IDME, en termes de flux net, sont réalisés principalement dans les industries manufacturières qui enregistrent un flux net de +3,1 MMDH en 2023. Elles sont suivies des industries extractives (+2,3 MMDH en 2023 contre -0,2 MMDH en 2022) puis des activités financières et d’assurance (+0,9 MMDH en 2023 contre +1,3 MMDH en 2022).