« Nous apprécions cette nouvelle position de la Finlande, la première dans la région, et qui fait partie de la dynamique internationale pour trouver une solution à cette question régionale », a affirmé M. Bourita, en formant le souhait qu’elle « aide à trouver une solution à ce différend régional ».
De son côté, la ministre finlandaise des Affaires étrangères a réaffirmé la position exprimée peu auparavant dans un communiqué conjoint, publié à l’issue de ses entretiens avec M. Bourita, soulignant que la Finlande considère « le plan d’autonomie, présenté en 2007, comme une contribution sérieuse et crédible au processus politique mené par l’ONU et comme une bonne base pour une solution agréée par les parties ».
Mme Valtonen a indiqué que ces entretiens ont notamment permis d’aborder la question du Sahara et « l’importance de trouver une solution mutuellement acceptable sous les auspices de l’ONU ».
Selon le communiqué conjoint, la Finlande a réitéré à cet égard son soutien au « processus politique visant à parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable ».
Dans le même communiqué, les deux ministres ont exprimé leur position commune quant au rôle exclusif des Nations unies dans le processus politique, réaffirmant leur soutien aux résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU et l’appui de leurs pays respectifs aux efforts de l’Envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies, visant à faire avancer ce processus.