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Audi A3 allstreet, grimée en aventurière

Audi A3 allstreet, grimée en aventurière

À l’occasion de son restylage, la compacte aux anneaux de 4ème génération, lancée en 2020, prend un peu de hauteur, par le biais d’une nouvelle variante baptisée A3 allstreet.

L’Audi A3 a calqué cette nouvelle variante sur celle du même nom proposée sur la gamme : A1. Elle promet de favoriser son accessibilité en rehaussant sa garde au sol, et en conséquence, l’assise de ses sièges de 30 mm, lui donnant un look de crossover.
 
Du coup, la différence avec les autres A3 est palpable, mais plutôt visuellement. En plus de sa livrée Jaune Python en option (900 €), cette Audi reçoit des boucliers et des bas de caisse spécifiques, marquant une certaine parenté avec la famille Q de la marque allemande.

L’ergonomie profite toujours de cette posture agréablement reposante de berline, éventuellement appropriée à de longs trajets.

Micro-hybridation imperceptible

 
S’agissant de la prise en main, la plus grosse nouveauté est liée au restylage et prend la taille du petit pavé coulissant préféré au basculeur faisant précédemment office de sélecteur de transmission. Pas de quoi être déçu, cette allstreet se menant comme toute A3, en douceur, en particulier avec l’aide de sa mécanique turbo essence TSFI, particulièrement souple et silencieuse.

L’intégration de sa micro-hybridation 48 V se montre réussie, rendant les coupures et redémarrages du 4 cylindres 1,5 quasi imperceptibles en roulant. À l’inverse, les fluctuations incessantes de régénération en fonction du trafic manquent de transparence. La firme d’Ingolstadt a retouché subtilement l’amortissement pour conférer le même confort de marche malgré l’élévation du centre de gravité. Le châssis y perd hélas un peu de précision en courbe.

L’intégration de sa micro-hybridation 48 V se montre réussie, rendant les coupures et redémarrages du 4 cylindres 1,5 quasi imperceptibles en roulant. À l’inverse, les fluctuations incessantes de régénération en fonction du trafic manquent de transparence. La firme d’Ingolstadt a retouché subtilement l’amortissement pour conférer le même confort de marche malgré l’élévation du centre de gravité. Le châssis y perd hélas un peu de précision en courbe.

Basée sur la Sportback, ni moins bien ni mieux

 
De ce fait, l’Audi A3 allstreet ne fait ni mieux, ni moins bien qu’une version Sportback, sur laquelle elle se base. Mais cela ne l’empêche pas de réclamer un effort subsidiaire de 1900 €, à finition et à motorisation équivalentes. Sans compter qu’elle n’offre que la moitié du restylage de l’A3, cette variante faisant l’impasse sur le remodelage de sa calandre, à la différence du reste de la gamme.
 
À bord, les changements sont rares, on peut décompter l’arrivée de deux nouvelles incrustations décoratives en tissu ou l’éclairage intérieur disponible sur de nouvelles parties de l’habitacle comme le tour de la console centrale et les porte-gobelets. Par contre, l’A3 restylée améliore ses équipements de série. La dotation comprend le volant en cuir à trois branches, la climatisation monozone, l’éclairage d’ambiance et l’accoudoir central avant.

Au lancement, l’Audi A3 est proposée en deux motorisations couplées à une boîte automatique S-Tronic à 7 vitesses : 1,5 l essence de 150 ch avec hybridation légère et 2.0 l Diesel de 150 ch.
 
L’Audi A3 allstreet est disponible à la commande en Europe depuis le mois de mars, avec des tarifs qui démarrent à partir de 39.980 €.