a
a
HomeActualités du NetRéitération du soutien à l’intégrité territoriale du Maroc et à l’initiative d’autonomie

Réitération du soutien à l’intégrité territoriale du Maroc et à l’initiative d’autonomie

Réitération du soutien à l’intégrité territoriale du Maroc et à l’initiative d’autonomie
Le Guatemala a réitéré, à New York, son soutien à la souveraineté nationale et à l’intégrité territoriale du Maroc, ainsi qu’à l’initiative d’autonomie présentée par le Royaume pour résoudre le différend régional autour du Sahara marocain.

« Mon pays considère que l’initiative d’autonomie présentée par le Maroc en 2007 constitue une base réaliste, crédible et sérieuse pour parvenir à une solution négociée entre les parties, dans le cadre du respect de l’intégrité territoriale du Royaume et de sa souveraineté nationale », a tenu à souligner l’ambassadeur représentante permanente du Guatemala à l’ONU, Carla Maria Rodríguez Mancia, lors de la session ordinaire du Comité des 24 (10-21 juin).
Elle a également réitéré le soutien de son pays aux efforts du Royaume dans la recherche d’une solution politique juste et durable au différend régional sur le Sahara marocain.

Saluant les efforts du Secrétaire général de l’ONU et de son Envoyé personnel pour le Sahara marocain visant à faciliter la relance du processus politique sous les auspices exclusifs du Secrétaire général de l’ONU, y compris sa visite à Rabat, Alger et Nouakchott, l’ambassadeur du Guatemala a indiqué que le règlement de ce conflit artificiel est nécessaire pour la stabilité, la sécurité et l’intégration de la région du Maghreb.

Pour sa part, le Burundi a réaffirmé, devant le Comité des 24 de l’ONU, son soutien à l’intégrité territoriale et à la souveraineté du Maroc, tout en saluant l’initiative d’autonomie présentée par le Royaume pour résoudre le différend régional sur le Sahara marocain.

S’exprimant lors de la session ordinaire du C24, le représentant du Burundi s’est félicité de l’ouverture des consulats généraux de pays arabes, africains, d’Amérique et d’Asie, ainsi que d’organisations régionales, à Laâyoune et Dakhla.

Il a relevé que cette dynamique a pour vocation de renforcer les opportunités économiques et sociales qu’offre le Sahara marocain, en tant que hub de développement, de stabilité et de rayonnement dans les régions méditerranéenne, atlantique et africaine.

Dans ce cadre, il s’est réjoui du niveau du développement socio- économique réalisé grâce aux investissements et projets mis en œuvre dans le cadre du Nouveau modèle de développement, lancé par le Maroc en 2015, et qui a grandement contribué à l’autonomisation des populations et à l’amélioration des indices de développement humain au Sahara marocain.

Le diplomate a par ailleurs indiqué que son pays salue la participation des représentants du Sahara, réélus démocratiquement lors du scrutin du 8 septembre 2021, aux séminaires régionaux du C24, dont le plus récent tenu à Caracas, du 14 au 16 mai 2024, ainsi qu’aux deux tables rondes de Genève.

Par la même occasion, le représentant du Burundi a salué les efforts de l’Envoyé personnel du SG de l’ONU pour le Sahara marocain, Staffan de Mistura, visant à faciliter la relance du processus politique sous les auspices exclusifs du Secrétaire général des Nations Unies, notamment ses visites à Rabat, Alger et Nouakchott.

Il a ce propos appelé à la reprise rapide du processus des tables rondes, selon le même format et avec les mêmes participants à savoir le Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et le “polisario”, conformément à la résolution 2703 du Conseil de sécurité, invitant ces derniers à rester engagés tout au long du processus politique, en vue de parvenir à une solution politique, réaliste, pragmatique, durable et de compromis au différend régional sur le Sahara marocain, tel que demandé par le Conseil de sécurité.

La République de Guinée a exprimé, elle aussi, son soutien à l’initiative marocaine d’autonomie, « la solution de compromis » pour résoudre le différend régional autour du Sahara.

Cette initiative est conforme aux principes et règles du droit international, à la Charte des Nations Unies ainsi qu’aux résolutions pertinentes des Nations Unies, pour trouver une issue favorable à ce différend régional qui n’a que trop duré, a souligné l’ambassadeur représentant permanent de la République de Guinée à l’ONU, Paul Goa Zoumanigui, lors de la session ordinaire du C24.

Il a également appelé à la reprise rapide du processus des tables rondes, avec le même format et les mêmes participants, à savoir l’Algérie, le Maroc, la Mauritanie et le « polisario », conformément aux dispositions pertinentes de la résolution 2703 du Conseil de sécurité. Le but est de parvenir à une solution politique réaliste, pragmatique, durable et de compromis à ce conflit artificiel, tel que demandé par le Conseil de sécurité.

Réitérant le soutien de son pays au processus politique, tenu sous les auspices du Secrétaire général des Nations Unies, le diplomate a salué les efforts de l’Envoyé personnel du SG de l’ONU pour le Sahara marocain, Staffan de Mistura, visant la relance du processus politique sous l’égide exclusive du Secrétaire général, notamment ses visites à Rabat, Alger et Nouakchott.

Par ailleurs, l’ambassadeur s’est réjoui de l’ouverture par son pays d’un Consulat général à Dakhla, non seulement pour raffermir ses relations d’amitié et de coopération avec le Royaume du Maroc, mais également pour marquer une meilleure présence dans la région.

Il s’est félicité également de la tenue des élections générales, législatives, communales et régionales au Maroc, y compris au Sahara, en 2021 et du taux de participation dans ces échéances, relevant que ces scrutins se sont déroulés dans une atmosphère démocratique, transparente, libre et crédible.

Le diplomate a, en outre, salué le respect du cessez-le-feu par le Maroc et sa « perceptible » coopération avec la MINURSO.

L’ambassadeur de la République de Guinée a, par ailleurs, évoqué la situation humanitaire « préoccupante » dans les camps de Tindouf, en soulignant la nécessité de procéder à l’enregistrement et au recensement des populations séquestrées dans ces camps, conformément au droit international humanitaire.