La convention a été paraphée, du côté marocain, par la présidente de l’instance fédérale, Mme Bouchra Hajij, et du côté gabonais par Raymond-Bernard Bivigou, président de la fédération gabonaise, en présence du ministre gabonais de la Culture, de la Jeunesse et du Sport, André Jacques Augand.
Cet accord vise à définir un cadre de coopération, de soutien et d’échange entre les deux Fédérations afin de contribuer au développement du volley-ball et du beach-volley.
La convention prévoit le soutien, l’accompagnement et le partage du savoir-faire et de l’expertise, notamment dans les domaines du développement du volley-ball, de l’entrainement, de la formation des équipes nationales, de l’arbitrage et de la formation des cadres.
Elle préconise, également, la coopération directe entre les instances sportives respectives du volley-ball en vue de profiter du savoir-faire et de l’expertise dans les domaines du management et de la gestion du coaching, des échanges des équipes nationales du volley-ball et beach-volley pour les catégories jeunes et les seniors, dames et hommes.
Dans une déclaration à la presse, M. Augand a souligné que cette convention permet aux volleyeurs gabonais de se rendre au Maroc afin de pouvoir bénéficier des entraînements et des formations, ajoutant que le Royaume fait partie des pays développés dans le domaine des infrastructures.
Il a indiqué que l’objectif est de bénéficier de l’expérience des cadres marocains afin de contribuer à accompagner et à former les sportifs gabonais, estimant que la signature de cet accord va dans le sens de renouveler et de renforcer les liens d’amitié qui unissent le Gabon et le Maroc, « un pays frère et ami ».
Pour sa part, Mme Bouchra Hajij a noté dans une déclaration similaire que la signature de cet accord s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération entre les deux pays frères, précisant qu’il s’agit notamment de la formation et du développement continu, ainsi que de l’échange d’expériences et d’expertise dans les domaines d’intérêt commun.
Elle a fait savoir que deux commissions des ministères de tutelle ont été constituées pour évaluer et faire le suivi annuel de cet accord.