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Football D2: Une gestion aléatoire éloigne le KACM de l’aspiration de l’ascension en D1 professionnelle…!

Football D2:  Une gestion aléatoire éloigne le KACM de l’aspiration de l’ascension en D1 professionnelle…!
Des erreurs fatales ont été commises dernièrement au niveau de la gestion technique du KACM.
 
Selon les observateurs sur place, c’est sans doute le licenciement du compétent entraîneur Redouane Haimeur et la nomination d’Adil Radi, le coach controversé fut la principale cause de l’état actuel des lieux du KACM.
 
Cette état montre à plus d’un titre, l’absence du professionnalisme du comité ignorant malheureusement qu’au niveau sportif, les succès, les contre-performances et le passage à vide font partie du décor et doivent être acceptés…!
 
Cette ignorance a accéléré le licenciement du coach Redouane Haimeur durant une période sensible que traversait le KACM, en plus de l’annulation du contrat programme de buts convenu avec l’entraîneur, et qui s’étend sur quatre ans.
 
Et vite… bonjour la nomination d’Adil Radi. Un entraîneur, selon les dires des supporters kawkabis, sans carte visite ni expérience, sauf qu’il était directeur technique au sein de l’IR.Tanger à un moment où le président Driss Hanifa fut membre de l’équipe tangéroise.
 
Néanmoins, cette nomination a apporté son lot de problèmes au KACM à commencer par le licenciement de 11 joueurs en plus de la commission technique de l’équipe et le recrutement d’une pléiade de faibles joueurs avec la bénédiction du président Driss Hanifa.
 
Cette situation anarchique a vite tourné au cauchemar avec des résultats inattendus…!
 
Le nouveau coach Adil Radi, afin de justifier son échec, il a adressé de sévères critiques à toutes les composantes de l’équipe, ce qui a été une raison majeure de la colère à son égard, avec son licenciement et la nomination d’un autre cadre nommé Fouad Sahabi, qui a aussi des souvenirs avec l’équipe, car il était auparavant à l’origine de la chute de l’équipe en deuxième division nationale.
 
À la lumière de cette situation lamentable, la vie sportive a été enterrée, et l’identité marrakchie a été anéantie.
 
Du coup, la galerie des Rouge et Blanc exprime une profonde nostalgie quant à l’époque de la présidence du Haj Mohamed Mediouri.
A bon entendeur, salut !