Hababi, Mehdoufi, Morsadi, Elghorf et d’autres anciens de la génération de la belle époque, étaient venus saluer leurs supporterset soutenir leur club de formation pour réaliser au moins une finale ou demi-finale de coupe du Trône, réviviscence d’une symbiose qui animait ces beaux moments de bonheur et de ce sacre historique du club phosphatier du seul titre de la Botola en 2006-2007 sous la houlette de feu Mustapha Madih et des trophée de la Coupe du Trône des éditions de 2006 à Rabat sous la houlette de feu Mustapha Madih et de 2015 à Tanger sous la houlette du coach tunisien Ahmed Ajlani.
Tout espoir de retour chez les Grands, pour cette saison jugée tumultueuse surtout sur le plan financier, reste aléatoire pour ne pas dire loin d’être réalisé, le club khouribgui et ses supporters se concentrent désormais sur le trophée de la coupe du Trône pour au moins jouer une finale.
Et c’est alors que Mounir Jaouani et ses joueurs s’activèrent à tous les niveaux pour ne pas rater cette opportunité, celle d’enrichir un palmarès qui n’a pas bougé depuis 2015 ou pour être objectif, depuis le retrait ou l’éloignement de la gestion de l’OCK des cadres de l’administration OCP et leur gestion professionnelle qualifiée de modèle des « choses » du club.
Le match advint et alors qu’on s’attendait à une vague d’offensives par les locaux, rien n’en fut et on sentait que les hommes de Jaouani parurent moins fougueux que leurs adversaires de Faouzi Jamal qui, au contraire multipliaient les assauts et créeaient de multiples occasions de buts.
Et alors que tout versait vers le coup du sifflet final et la fin du temps additionnel qui passa de 5 minutes à 12 minutes, un joueur khouribgui écopa d’un deuxième carton jaune pour une bourde absurde, celle d’un maillot portant un numéro différent de celui du short.
Et juste après, advint le but de la victoire qui terrassa le public local, un public qui ne trouva de manifestation que celle de flamber la pelouse de flammes de fumigènes obligeant le referee à arrêter le jeu pendant plus de 3 minutes.
Ainsi, l’opportunité de sauver une saison perturbée échappa au club phosphatier et la déception des joueurs, des supporters et surtout de Mounir Jaouani fut vraiment indescriptible, tellement tout ce monde y croyait.
Et là, beaucoup de supporters évoquèrent les belles saisons de la gestion OCP et ne manquèrent pas de souhaiter un éventuel retour de ces cadres qui avaient fait le bonheur du club cher à tous les Khouribguis.
Aujourd’hui, l’OCK est un club endetté à tous les niveaux à l’image de ces femmes de ménage à qui le club doit plus de 7 mensualités pour ne citer que cet exemple…
Tout espoir de retour chez les Grands, pour cette saison jugée tumultueuse surtout sur le plan financier, reste aléatoire pour ne pas dire loin d’être réalisé, le club khouribgui et ses supporters se concentrent désormais sur le trophée de la coupe du Trône pour au moins jouer une finale.
Et c’est alors que Mounir Jaouani et ses joueurs s’activèrent à tous les niveaux pour ne pas rater cette opportunité, celle d’enrichir un palmarès qui n’a pas bougé depuis 2015 ou pour être objectif, depuis le retrait ou l’éloignement de la gestion de l’OCK des cadres de l’administration OCP et leur gestion professionnelle qualifiée de modèle des « choses » du club.
Le match advint et alors qu’on s’attendait à une vague d’offensives par les locaux, rien n’en fut et on sentait que les hommes de Jaouani parurent moins fougueux que leurs adversaires de Faouzi Jamal qui, au contraire multipliaient les assauts et créeaient de multiples occasions de buts.
Et alors que tout versait vers le coup du sifflet final et la fin du temps additionnel qui passa de 5 minutes à 12 minutes, un joueur khouribgui écopa d’un deuxième carton jaune pour une bourde absurde, celle d’un maillot portant un numéro différent de celui du short.
Et juste après, advint le but de la victoire qui terrassa le public local, un public qui ne trouva de manifestation que celle de flamber la pelouse de flammes de fumigènes obligeant le referee à arrêter le jeu pendant plus de 3 minutes.
Ainsi, l’opportunité de sauver une saison perturbée échappa au club phosphatier et la déception des joueurs, des supporters et surtout de Mounir Jaouani fut vraiment indescriptible, tellement tout ce monde y croyait.
Et là, beaucoup de supporters évoquèrent les belles saisons de la gestion OCP et ne manquèrent pas de souhaiter un éventuel retour de ces cadres qui avaient fait le bonheur du club cher à tous les Khouribguis.
Aujourd’hui, l’OCK est un club endetté à tous les niveaux à l’image de ces femmes de ménage à qui le club doit plus de 7 mensualités pour ne citer que cet exemple…