Le Conseil des droits de l’Homme des Nations unies (CDH) a toujours plaidé pour le renforcement du rôle et de l’indépendance des institutions nationales des droits de l’Homme (INDH), en vue de leur offrir la possibilité d’interagir mutuellement, a souligné, mercredi à Genève, le président du Conseil, Omar Zniber.
Dans son allocution à l’occasion de la Conférence annuelle de l’Alliance mondiale des institutions nationales des droits de l’Homme (GANHRI), organisée sous le thème « Entreprises, droits de l’Homme et rôles et expériences des INDH », M. Zniber a relevé qu’à travers ses résolutions pertinentes, le CDH encourage les Etats membres à mettre en place ces institutions dédiées et à veiller au pluralisme de leur composition, ainsi qu’à leur indépendance. L’ambassadeur, représentant permanent du Maroc à Genève, a ainsi souligné l’importance du rôle des INDH, qui offrent des conseils et suivent les développements relatifs aux principes directeurs des Nations unies sur les entreprises et les droits de l’Homme.
« Nous devons prendre en compte les avis des INDH pour l’harmonisation de la législation nationale avec les normes internationales, afin d’adopter une législation imposant le devoir de vigilance », a relevé M. Zniber. En effet, les INDH pourrait être considérées en tant que mécanismes de recours efficaces qui permettent non seulement de régler certains problèmes, mais aussi de détecter les lacunes sur le terrain et de formuler des recommandations pour mieux protéger les droits de l’Homme, a-t-il estimé.
Tout en saluant l’action des INDH concernant la coopération avec le Groupe de travail sur la question des droits de l’Homme et des sociétés transnationales et autres entreprises, créé par le CDH en 2011, ainsi que leurs contributions aux consultations pour l’élaboration de l’instrument juridiquement contraignant sur les activités commerciales et les droits de l’Homme, M. Zniber a encouragé les INDH à continuer d’apporter leur concours à l’élaboration de normes internationales et à la participation aux forums œuvrant dans ce sens.
Par ailleurs, M. Zniber a mis l’accent sur deux thématiques phares de sa présidence, à savoir l’impact des changements climatiques sur la sécurité alimentaire et sanitaire, ainsi que les défis de l’intelligence artificielle, invitant les INDH à considérer l’opportunité de faire des propositions ou des recommandations sur ces défis majeurs.
En conclusion, le président du CDH a invité les Etats membres à prendre les mesures voulues pour promouvoir l’échange d’informations et de données d’expérience concernant la création, le renforcement et le fonctionnement efficace des INDH.
Dans son allocution à l’occasion de la Conférence annuelle de l’Alliance mondiale des institutions nationales des droits de l’Homme (GANHRI), organisée sous le thème « Entreprises, droits de l’Homme et rôles et expériences des INDH », M. Zniber a relevé qu’à travers ses résolutions pertinentes, le CDH encourage les Etats membres à mettre en place ces institutions dédiées et à veiller au pluralisme de leur composition, ainsi qu’à leur indépendance. L’ambassadeur, représentant permanent du Maroc à Genève, a ainsi souligné l’importance du rôle des INDH, qui offrent des conseils et suivent les développements relatifs aux principes directeurs des Nations unies sur les entreprises et les droits de l’Homme.
« Nous devons prendre en compte les avis des INDH pour l’harmonisation de la législation nationale avec les normes internationales, afin d’adopter une législation imposant le devoir de vigilance », a relevé M. Zniber. En effet, les INDH pourrait être considérées en tant que mécanismes de recours efficaces qui permettent non seulement de régler certains problèmes, mais aussi de détecter les lacunes sur le terrain et de formuler des recommandations pour mieux protéger les droits de l’Homme, a-t-il estimé.
Tout en saluant l’action des INDH concernant la coopération avec le Groupe de travail sur la question des droits de l’Homme et des sociétés transnationales et autres entreprises, créé par le CDH en 2011, ainsi que leurs contributions aux consultations pour l’élaboration de l’instrument juridiquement contraignant sur les activités commerciales et les droits de l’Homme, M. Zniber a encouragé les INDH à continuer d’apporter leur concours à l’élaboration de normes internationales et à la participation aux forums œuvrant dans ce sens.
Par ailleurs, M. Zniber a mis l’accent sur deux thématiques phares de sa présidence, à savoir l’impact des changements climatiques sur la sécurité alimentaire et sanitaire, ainsi que les défis de l’intelligence artificielle, invitant les INDH à considérer l’opportunité de faire des propositions ou des recommandations sur ces défis majeurs.
En conclusion, le président du CDH a invité les Etats membres à prendre les mesures voulues pour promouvoir l’échange d’informations et de données d’expérience concernant la création, le renforcement et le fonctionnement efficace des INDH.