Les assureurs sont appelés à adopter une approche plus innovante pour contribuer à l’inclusion financière, compte tenu de la multiplication des enjeux auxquels sont confrontés les ménages et les entreprises, a souligné, mercredi à Casablanca, la ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah.
« Le secteur de l’assurance joue un rôle crucial dans l’inclusion financière, notamment en matière de financement, ce qui contribue au développement économique et social du Royaume », a dit Mme Fettah à l’ouverture de la 10ème édition du rendez-vous de Casablanca de l’Assurance, initiée par la Fédération Marocaine de l’Assurance (FMA), sous le Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Organisé sous le thème « Quelle assurance dans un monde d’incertitudes ? », cet événement, qui met à l’honneur cette année l’Etat des Emirats Arabes Unis (EEAU), a été l’occasion pour la ministre de faire remarquer que l’incertitude est devenue une caractéristique majeure du quotidien du secteur des assurances, lequel se démarque par son aspect multidimensionnel, à la fois économique, climatique, digital, ou encore géopolitique.
« Le changement climatique que notre pays traverse ces dernières années démontre la fréquence et l’intensité des risques météorologiques, et fait entrer le monde des assurances dans une nouvelle ère, celle de l’incertitude, vu que les méthodes classiques de prévisions ne sont plus assez efficaces pour les anticiper », a-t-elle expliqué.
De plus, les progrès technologiques transforment les usages, les habitudes et les comportements pour induire continuellement de nouveaux besoins et de nouvelles attentes plus personnalisées et plus complexes en termes de couvertures et d’accompagnement, a poursuivi Mme Fettah, estimant que ces progrès sont des sources également de nouveaux risques, notamment les cyber-risques qui suscitent actuellement de vives craintes.
Face à ce contexte d’incertitudes, le Maroc a fait face à de nombreuses crises, certaines mondiales, comme la pandémie, et d’autres locales comme les dernières années de sécheresse successives et le tremblement de terre d’Al Haouz, a-t-elle indiqué.
Et de soutenir que malgré ces défis, l’économie marocaine continue de faire preuve d’une capacité de résilience avérée, à travers un processus robuste de réforme structurelle et sectorielle visant à assoir les bases d’une croissance forte et durable.
Sur le plan environnemental, le Royaume est engagé dans la poursuite de la transformation énergétique de son économie, a fait savoir la ministre, ajoutant que dans cette perspective, le gouvernement a mis en place un ensemble stratégies sectorielles pour assurer l’économie bas carbone, la sécurité énergétique, l’énergie verte et une meilleure gestion et protection des ressources en eaux.
Événement clé pour le secteur de l’assurance et de la réassurance en Afrique, le rendez-vous de Casablanca de l’Assurance, qui se poursuit jusqu’au jeudi, se veut un espace de partage d’expériences et de points de vue sur des sujets d’actualité.
À l’issue de la cérémonie d’ouverture de cet événement, le président de la FMA, Hassan Bensalah, et le président du Conseil d’Administration de l’Emirates Insurance Association (EIA), Khaled Al-Badi, ont signé une convention technique portant sur le partage d’expériences et d’autres actions qui ont pour vocation d’améliorer l’industrie de l’assurance au Maroc et à l’EEAU.
Organisé sous le thème « Quelle assurance dans un monde d’incertitudes ? », cet événement, qui met à l’honneur cette année l’Etat des Emirats Arabes Unis (EEAU), a été l’occasion pour la ministre de faire remarquer que l’incertitude est devenue une caractéristique majeure du quotidien du secteur des assurances, lequel se démarque par son aspect multidimensionnel, à la fois économique, climatique, digital, ou encore géopolitique.
« Le changement climatique que notre pays traverse ces dernières années démontre la fréquence et l’intensité des risques météorologiques, et fait entrer le monde des assurances dans une nouvelle ère, celle de l’incertitude, vu que les méthodes classiques de prévisions ne sont plus assez efficaces pour les anticiper », a-t-elle expliqué.
De plus, les progrès technologiques transforment les usages, les habitudes et les comportements pour induire continuellement de nouveaux besoins et de nouvelles attentes plus personnalisées et plus complexes en termes de couvertures et d’accompagnement, a poursuivi Mme Fettah, estimant que ces progrès sont des sources également de nouveaux risques, notamment les cyber-risques qui suscitent actuellement de vives craintes.
Face à ce contexte d’incertitudes, le Maroc a fait face à de nombreuses crises, certaines mondiales, comme la pandémie, et d’autres locales comme les dernières années de sécheresse successives et le tremblement de terre d’Al Haouz, a-t-elle indiqué.
Et de soutenir que malgré ces défis, l’économie marocaine continue de faire preuve d’une capacité de résilience avérée, à travers un processus robuste de réforme structurelle et sectorielle visant à assoir les bases d’une croissance forte et durable.
Sur le plan environnemental, le Royaume est engagé dans la poursuite de la transformation énergétique de son économie, a fait savoir la ministre, ajoutant que dans cette perspective, le gouvernement a mis en place un ensemble stratégies sectorielles pour assurer l’économie bas carbone, la sécurité énergétique, l’énergie verte et une meilleure gestion et protection des ressources en eaux.
Événement clé pour le secteur de l’assurance et de la réassurance en Afrique, le rendez-vous de Casablanca de l’Assurance, qui se poursuit jusqu’au jeudi, se veut un espace de partage d’expériences et de points de vue sur des sujets d’actualité.
À l’issue de la cérémonie d’ouverture de cet événement, le président de la FMA, Hassan Bensalah, et le président du Conseil d’Administration de l’Emirates Insurance Association (EIA), Khaled Al-Badi, ont signé une convention technique portant sur le partage d’expériences et d’autres actions qui ont pour vocation d’améliorer l’industrie de l’assurance au Maroc et à l’EEAU.