Dans un contexte où une catégorie d’individus, porteurs d’identités et de cultures différentes, partagent le même territoire, les mêmes réalités quotidiennes et les mêmes espaces, l’horreur et la pitié apparaissent comme deux éléments déterminants d’une nouvelle catharsis. L’horreur et la pitié sont deux composantes de la direction artistique de cette déambulation théâtrale dont le personnage principal est une marionnette d’éléphant géant, dans laquelle se meuvent des acteurs racontant des histoires, des anecdotes et des situations vécues.
Ramenant à la surface du débat public les questions autour de la migration, de l›altérité, du racisme… Après les représentations de Casablanca, le spectacle élira domicile à Tiznit et Zagora, respectivement les 16 et 18 avril. Le 1er novembre, il se rendra à M’Hamid El Ghizlaine pour l’ouverture du festival Taragalte.