Le ministère de la Culture a récemment annoncé l’inscription de quatre nouveaux sites sur la liste du patrimoine national, une démarche visant à assurer leur protection juridique et leur promotion.
Le premier de ces joyaux est le site historique Taberna, niché dans la commune de Sidi El Yamani, au douar Ihssaden et Ouled Rahou à Tanger. Suivant de près, le Menzah Madani Glaoui, situé au Riad Zitoun Jdid à Marrakech, rejoint également la liste prestigieuse.
Mais ce n’est pas tout. Sur décision du ministère de la Culture, la Mosquée des Andalous de Fès, emblème de l’architecture et de la spiritualité islamique, se voit également attribuer cette distinction honorifique. Enfin, l’école Oumara, témoin du patrimoine éducatif et architectural de Safi, complète cette sélection d’exception.
Cette décision s’inscrit dans le cadre de la loi n°22.80 relative à la conservation des monuments historiques, des sites et des inscriptions des objets d’art et d’antiquité. Conformément à cette législation, tout bien inscrit au patrimoine national bénéficie d’une protection rigoureuse. Aucune altération, démolition ou modification ne peut être entreprise sans l’aval préalable de l’administration, six mois avant le début des travaux.
En outre, des subventions peuvent être accordées aux propriétaires de ces biens inscrits afin de les aider à restaurer et à préserver leurs précieuses propriétés. En collaboration avec les propriétaires, l’autorité compétente peut également prendre en charge les travaux nécessaires à la préservation et à la valorisation de ces trésors nationaux.
Mais ce n’est pas tout. Sur décision du ministère de la Culture, la Mosquée des Andalous de Fès, emblème de l’architecture et de la spiritualité islamique, se voit également attribuer cette distinction honorifique. Enfin, l’école Oumara, témoin du patrimoine éducatif et architectural de Safi, complète cette sélection d’exception.
Cette décision s’inscrit dans le cadre de la loi n°22.80 relative à la conservation des monuments historiques, des sites et des inscriptions des objets d’art et d’antiquité. Conformément à cette législation, tout bien inscrit au patrimoine national bénéficie d’une protection rigoureuse. Aucune altération, démolition ou modification ne peut être entreprise sans l’aval préalable de l’administration, six mois avant le début des travaux.
En outre, des subventions peuvent être accordées aux propriétaires de ces biens inscrits afin de les aider à restaurer et à préserver leurs précieuses propriétés. En collaboration avec les propriétaires, l’autorité compétente peut également prendre en charge les travaux nécessaires à la préservation et à la valorisation de ces trésors nationaux.