Un récent rapport de Greenpeace vient de lever le voile sur la pollution atmosphérique en Afrique, qui démontre par ailleurs que le Maroc a encore beaucoup d’efforts à consentir en matière de décarbonation. Considéré parmi les secteurs qui émettent le plus d’émission de gaz à effet de serre, le transport au Maroc tarde par exemple à amorcer sa révolution vers la durabilité puisque le gouvernement continue dans ses marchés à opter pour des véhicules thermiques de transport collectif, sans prévoir une part minimale suffisante pour des véhicules électriques. Pourtant, les solutions de mobilité collective électrique qui peuvent être produites localement sont arrivées à maturation et n’attendent qu’une orientation volontariste pour décarboner le transport. Autrement, c’est tout un pan en devenir de l’industrie marocaine qui risque d’aller chercher d’autres cieux plus cléments.
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