Tomber le meilleur entraîneur africain : fake news, rumeurs, mensonges !
On peut parler de malhonnêteté, qui devrait être bannie, n’en déplaise aux agents qui gangrènent le football.
Et qui servent des influenceurs sans foi, ni loi, qui outrepassent leur rôle pour agir en malfrat suprême.
Ils sont déterminés à atteindre leur objectif mercantile, en usant de tous les moyens mensongers et diffamatoires, l’essentiel est d’atteindre leur seul objectif : le gain !
La victime est cette fois-ci, Walid Regragui. On commence par le remettre en cause, en prenant le « public » à témoin (?) et on va même jusqu’à confectionner des statistiques mensongères, pour sévir.
70% d’un public fictif veut le départ de Regragui
On parle de 70 % du capital public, qui estime que Walid Regragui n’est pas l’homme de la situation !?
Quels sont les critères retenus pour justifier le limogeage du sélectionneur actuel des Lions de l’Atlas ?
Et qui se trouve être le meilleur entraîneur de tous les temps, en Afrique, depuis sa demi-finale en Coupe du Monde ?
Et on sort le nom de M. Hervé Renard qui émet le souhait de quitter l’équipe de France féminine, qu’il compte laisser tomber, comme il avait envoyé balader la Côte d’Ivoire, le Maroc et l’Arabie Saoudite…
Au niveau de la symbolique, on reprend le cliché de la chemise blanche, comme si les Africains étaient incapables de réussir de grands exploits.
La fable du Renard, du corbeau et de l’argent du fromage
Tous les entraîneurs du continent ont salué le succès immense réussi par un entraîneur afro-arabe.
Et il est sûr et bien qu’il ait fait toute sa carrière de professionnel en Europe, il n’aura jamais l’opportunité d’entraîner en France. Ou dans n’importe quel club européen.
Qu’il ait réussi au FUS, au WAC et au Mondial Qatari, cela ne tient pas pour certains !
Plus, poser ce problème, c’est ignorer la hiérarchie qui divise le monde du football en deux pôles, le Nord et le Sud.
Le débat devrait se placer à ce niveau-là et ne pas déraper en mélangeant toutes les données, histoire de tromper les supporters. Avec ce grand public marocain, qui a prouvé que le soutien stimule la personnalité du joueur.
Walid Regragui a l’avantage du terrain mondialiste
Walid l’a compris en allant au peuple du football, dont il parle la langue, la Darija et connaît les traditions, les coutumes, le « sens et la puissance », comme dirait le sociologue « Africaniste » de talent George Balandier.
Maintenant laissons Walid travailler, car c’est son boulot et à ce propos, il sait que le foot n’est pas une science. On gagne et on perd et on quitte au moment opportun.
Le football a radicalement changé au Maroc, pays porteur d’un grand projet de relance, où les institutions seront privilégiées beaucoup plus que les hommes. Y compris et surtout en football.
Fini le temps de l’improvisation où on changeait de coach comme on change de chemise.
Et peu importe la couleur, le football étant universel et il a cet avantage de rapprocher les peuples, dans le respect de l’éthique.
Ethique saluée par Albert Camus dans son discours lors de la réception au Prix Nobel: « Tout ce que je sais de la morale, c’est au football que je le dois ».
Et qui servent des influenceurs sans foi, ni loi, qui outrepassent leur rôle pour agir en malfrat suprême.
Ils sont déterminés à atteindre leur objectif mercantile, en usant de tous les moyens mensongers et diffamatoires, l’essentiel est d’atteindre leur seul objectif : le gain !
La victime est cette fois-ci, Walid Regragui. On commence par le remettre en cause, en prenant le « public » à témoin (?) et on va même jusqu’à confectionner des statistiques mensongères, pour sévir.
70% d’un public fictif veut le départ de Regragui
On parle de 70 % du capital public, qui estime que Walid Regragui n’est pas l’homme de la situation !?
Quels sont les critères retenus pour justifier le limogeage du sélectionneur actuel des Lions de l’Atlas ?
Et qui se trouve être le meilleur entraîneur de tous les temps, en Afrique, depuis sa demi-finale en Coupe du Monde ?
Et on sort le nom de M. Hervé Renard qui émet le souhait de quitter l’équipe de France féminine, qu’il compte laisser tomber, comme il avait envoyé balader la Côte d’Ivoire, le Maroc et l’Arabie Saoudite…
Au niveau de la symbolique, on reprend le cliché de la chemise blanche, comme si les Africains étaient incapables de réussir de grands exploits.
La fable du Renard, du corbeau et de l’argent du fromage
Tous les entraîneurs du continent ont salué le succès immense réussi par un entraîneur afro-arabe.
Et il est sûr et bien qu’il ait fait toute sa carrière de professionnel en Europe, il n’aura jamais l’opportunité d’entraîner en France. Ou dans n’importe quel club européen.
Qu’il ait réussi au FUS, au WAC et au Mondial Qatari, cela ne tient pas pour certains !
Plus, poser ce problème, c’est ignorer la hiérarchie qui divise le monde du football en deux pôles, le Nord et le Sud.
Le débat devrait se placer à ce niveau-là et ne pas déraper en mélangeant toutes les données, histoire de tromper les supporters. Avec ce grand public marocain, qui a prouvé que le soutien stimule la personnalité du joueur.
Walid Regragui a l’avantage du terrain mondialiste
Walid l’a compris en allant au peuple du football, dont il parle la langue, la Darija et connaît les traditions, les coutumes, le « sens et la puissance », comme dirait le sociologue « Africaniste » de talent George Balandier.
Maintenant laissons Walid travailler, car c’est son boulot et à ce propos, il sait que le foot n’est pas une science. On gagne et on perd et on quitte au moment opportun.
Le football a radicalement changé au Maroc, pays porteur d’un grand projet de relance, où les institutions seront privilégiées beaucoup plus que les hommes. Y compris et surtout en football.
Fini le temps de l’improvisation où on changeait de coach comme on change de chemise.
Et peu importe la couleur, le football étant universel et il a cet avantage de rapprocher les peuples, dans le respect de l’éthique.
Ethique saluée par Albert Camus dans son discours lors de la réception au Prix Nobel: « Tout ce que je sais de la morale, c’est au football que je le dois ».