Le transport mixte ne constitue plus une solution adaptée à la mobilité dans les zones rurales, a affirmé, jeudi, le ministre du Transport et de la Logistique, Mohamed Abdeljalil.
En réponse à une question sur les accidents de la circulation causés par le transport mixte, lors d’un point de presse à l’issue de la réunion du Conseil de gouvernement, M. Abdeljalil a indiqué que “le mode de transport mixte adopté pour la première fois en 1982 pour remédier à un certain nombre de problèmes en matière de mobilité au cours de cette période, n’est plus la solution la plus adaptée aujourd’hui au transport dans les zones rurales”.
Concernant les accidents de la circulation provoqués par le transport mixte, le ministre a noté que “ces accidents sont douloureux et tragiques et ne diffèrent guère des autres accidents de la circulation que par le grand nombre de victimes qui en résultent », précisant que plusieurs accidents attribués au transport mixte sont en réalité causés par des véhicules non autorisés à exercer en tant que transporteur public.
Après avoir appelé au renforcement du contrôle de ce type de transport, le ministre a relevé que la gestion de la mobilité dans les régions relève des attribution de celles-ci, eu égard à leur proximité des citoyens pour remédier aux problématiques de transport en commun, particulièrement dans les zones rurales.
Il a, dans ce sens, souligné la disposition du ministère à accompagner les régions dans la recherche de solutions, dans le cadre de la régionalisation avancée.
Les accidents de la route mortels impliquant les transports en commun, notamment le transport mixte, sont principalement causés par l’élément humain, a-t-il poursuivi, relevant l’importance de la restructuration de la formation.
M. Abdeljalil a, à cet égard, rappelé les cinq axes de la Stratégie nationale de la sécurité routière que le ministère s’emploie à mettre en œuvre pour atteindre des objectifs concrets auprès des usagers de la route, notamment du secteur du transport en commun.
Il a, par ailleurs, mis en avant les mesures prises par le ministère pour le soutien de la modernisation des véhicules, ajoutant que la formation de conducteurs professionnels et le contrôle semestriel régulier des véhicules est susceptible de réduire le nombre d’accidents de la route.
Concernant les accidents de la circulation provoqués par le transport mixte, le ministre a noté que “ces accidents sont douloureux et tragiques et ne diffèrent guère des autres accidents de la circulation que par le grand nombre de victimes qui en résultent », précisant que plusieurs accidents attribués au transport mixte sont en réalité causés par des véhicules non autorisés à exercer en tant que transporteur public.
Après avoir appelé au renforcement du contrôle de ce type de transport, le ministre a relevé que la gestion de la mobilité dans les régions relève des attribution de celles-ci, eu égard à leur proximité des citoyens pour remédier aux problématiques de transport en commun, particulièrement dans les zones rurales.
Il a, dans ce sens, souligné la disposition du ministère à accompagner les régions dans la recherche de solutions, dans le cadre de la régionalisation avancée.
Les accidents de la route mortels impliquant les transports en commun, notamment le transport mixte, sont principalement causés par l’élément humain, a-t-il poursuivi, relevant l’importance de la restructuration de la formation.
M. Abdeljalil a, à cet égard, rappelé les cinq axes de la Stratégie nationale de la sécurité routière que le ministère s’emploie à mettre en œuvre pour atteindre des objectifs concrets auprès des usagers de la route, notamment du secteur du transport en commun.
Il a, par ailleurs, mis en avant les mesures prises par le ministère pour le soutien de la modernisation des véhicules, ajoutant que la formation de conducteurs professionnels et le contrôle semestriel régulier des véhicules est susceptible de réduire le nombre d’accidents de la route.