
Alors que des infrastructures prestigieuses comme le Grand Théâtre de Rabat et celui de Casablanca attendent leur inauguration officielle, le secteur peine à retrouver son dynamisme, freiné par un manque de soutien institutionnel et l’insuffisance des financements privés. Si les subventions publiques permettent la production de quelques œuvres, elles restent loin de pouvoir redonner à cet art noble sa vitalité d’antan, surtout que l’attention des jeunes aujourd’hui se tourne vers la création de contenus numériques, beaucoup plus lucratifs.
Bien que le ministre de tutelle affiche son ambition de relever ce défi et de redonner souffle au 6ème art marocain, les experts demeurent prudents face à l’ampleur de la tâche. Décryptage.
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